arrivée à Würzburg

La bataille battait son plein. Les cris et les hurlements se mêlaient au fracas de l'acier sur les corps et les armures. Entouré de piétons, laurentiis moulinait sa morgenstern en de puissantes paraboles meurtières. Parfois, il rippait sur les boucliers des assaillants. De temps en temps, le coup portait puissament, faisant éclater, tantôt une tête, tantôt un bras, futile protection devant sa masse vengeresse.

Les blessés s'accumulaient chez nous, mais le sort de la bataille était
encore loin d'être joué.

Il était dans un état second. La réalité semblait distordue et confuse. Mais au loin, il apperçu Garwind, mise à mal lors de son audacieuse manoeuvre.

"VifArgent, Allez" il donna un frot coup de talon contre les flanc de son destrier. ce dernier, comme fou, rua et pietinna un soldat, mal inspiré de se trouver sur sa route

Depuis le début les archers harcelaient les défenses statiques teutonnes. Il fallait que cela cesse. Laurentiis se dégagea enfin, trainant avec lui un fantassin que la mort, accroché à ses rennes. Il se rapprocha dien vite de garwind engagé par les vilains.

"J'arrive mon frère!!!"

Niwel crut sa dernière heure arrivée quand elle vit le Polonais prêt à la tuer.

"StAristote et mon Dieu ayez pitié de moi" pria t elle

Mais, au moment où l'épée amorçait sa descente fatale, une ombre passa et l'homme tomba. Elle reconnu Nanthromir. Elle remercia Imladrik du regard, puis reprenant la bannière malgré la douleur au ventre, elle avança près des cavaliers teutons. Son armure était maculée de terre et du sang qui s'échappait de sa blessure. Elle cria:

"COURAGE MES FRERES!"

Elle tua un Polonais grâce à une feinte aprise par CalaEog, puis bloqua un nouveau coup. Beaucoup de guerriers étaient ettonés que leurs adversaires puissent confier une bannière à une femme, ce qui lui profita. Mais, malheuresement, ils étaient habitués au combat et se reprirent très vites.

Il vit des freres au sol, combattant de la meilleure façon possible, ils etaient submergés par le nombre, alors Caego s'elança sur son cheval pour leurs venir en aide, arrivé devant un des ses freres, son cheval bouscula un ennemi puis son épée en tua un autre liberant ainsi un chevalier teutonique du nombre. Mais Caego continua ainsi essayant d'aider le maximum de fréres, malgré ces efforts il arrivait trop tard pour sauver certaine vie.

D'en haut, les hommes contemplaient la vaillance de leurs frères qui se battaient, triomphaient ou tombaient. Ils n'avaient qu'une envie, celle de les rejoindre pour leur venir en aide, sortir de l'immobilité dans laquelle ils baignaient depuis quelques heures, voyant leur camarade mourir en silence.

Des deux côtés les soldats se battaient avec courage, mais le seigneur Hobst Von Franken, menait la bataille avantagé par le surnombre de ses hommes.

Bruder Nombre de messages : 110 Date d'inscription : 20/10/2005

Pendant ce temps, Gunther s'affairait auprès des blessés, leur apportant tantôt une chopine, tantôt un morceau de saucisson. Il semblait insouciant du bruit, des cris, des flèches.

Mâche bien mon frère. Si tu dois rejoindre notre Seigneur au Ciel, que ce soit le ventre plein.

Florika bloquée dans l'infirmerie de fortune ne pouvait se douter de la tournure de la bataille qu'au nombre de blessés qui commençaient à arriver en masse.

Lorsqu'elle vit entrer dans la tente ses "ambulanciers interimaires" amener trois nouveaux chevaliers fort mal en point, elle soupira et embrassant du regard l'ensemble de l'infirmerie, se rendit compte qu'il n'y avait plus de place pour les accueillir.

Seigneur Tout Puissant... plus de place... que faire ? se dit elle je ne peux quand même pas les laisser dehors!!

Bien Dit elle aux écuyers Mettez les blessés deux par lit! Pas le choix! A l'exception des blessés à la tête ou au visage, bien sur!

Elle désigna un de ses aides :
Toi, va chercher de l'eau à la rivière!
Et voyant qu'il hésitait à sortir de la tente
Allons... vite! Rassure toi, à l'odeur de chairs brulées qui plane dans l'air... tu craindras surement moins pour ta vie dehors qu'à l'interieur! EXECUTION!

Puis, elle tenta d'enlever une fléche fichée dans la cuisse d'un soldat.
Celui ci poussa un hurlement à réveiller les morts.

Je n'y arriverai jamais comme ça! Il me faut quelque chose pour calmer la douleur!
Et je n'ai plus rien! Et ce ne sera ni la valériane, ni les décoctions de camomille ou de fleurs d'oranger qui feront l'affaire!
Il me faut quelque chose de plus fort!
Oui... bien sur, de l'alcool! Fort!

Et soudain, comme par hasard, le visage de frére Gunther lui vint à l'esprit.

Elle se retourna vers lui et le vit en train de donner de la nourriture aux blessés.

Elle lui cria pour couvrir les cris et les plaintes des blessés : Frère Frère Gunther! Vous n'y pensez pas!!!
Arrêtez donc de leur distribuer de la nourriture!
On ne donne pas à manger à un blessé!
Et cessez aussi de leur dire qu'ils vont mourrir!

Vos tonneaux d'alcool ? Vous les avez toujours non ?
Il m'en faut! Vite! Beaucoup!

VifArgent réussit à prendre de la vitesse. Laurentiis visa le petit groupe de piétons sous lequel garwind luttait despérement. Ces derniers ne virent arriver le cavalier hurlant un peu trop tard... Le destrier de laurentiis faucha le groupe sur le côté, divisant du même coup le nombre de marrauds par deux.

Garwind se battait avec l'énergie du désespoir, faisant tournoyer son épée autour de lui.

Laurentiis fit manoeuver son cheval et s'approcha des derniers assaillants. L'un d'eux reçu un violent coup de morgenstern derrière la tête et s'effondra comme un pantin désarticulé...

"Gardez vous à droite garwind, gardez vous à droite !" lança t-il à son frère

laurentiis reprit sa danse écarlate, couvrant Garwind le temps que celui ci recouvre ses esprits.

Bruder Nombre de messages : 110 Date d'inscription : 20/10/2005

Florika !
Mes tonneaux... d'al...cool ? Pour les blessés ?
Mais vous me dites de ne pas les nourrir et vous voulez les faire boire ?
je ne compr...... ah si ! Pour soigner leurs blessures !!! cyclops

Il n'en est pas question !
Ah ! Vous insistez... Sad

Je vais voir ce que j'ai dans ma réserve. Il doit me rester deux ou trois tonnelets de calva. Je vais les chercher Sad

Grommelant plus bas : Mettre du bon calva sur des blessures, on aura tout vu. Pfff. Elle va les achever, oui.

Non Frère Gunther... rassurez vous... l'alcool, ce n'est pas pour mettre sur les blessures... mais pour saouler ceux à qui je devrais enlever les fléches plantées dans le corps! Au mieux, ils dormiront et me laisseront les soigner, au pire, ils souffriront moins!

Remarquez, l'idée de nettoyer les plaies les plus vilaines à l'alcool peut être une bonne idée! A voir!

Et pour l'Amour du Ciel, arrêtez de leur donner du saucisson et de la bière!

Ca, ça peut les tuer!

Complétement désemparée, l'odeur du sang dans le nez, il lui semblait ressentir la souffrance de ces hommes jusque dans sa chair.

Je vous rappelle qu'il s'agit de brigands et de paysans locaux dirigés par un chef rebelle... pas des polonais ceux là sont encore loin derrière nous... du moins pour l'instant

(Garwind s’était rapidement relevé et d'un coup sec, il arracha le carreau d’arbalète qui, par chance, avait été bien ralenti par sa cotte de maille. La blessure était sévère mais ne saignait pas trop, pas pour l’instant en tout cas...!

Le temps de se relever et de retrouver ses esprits, deux piétons qui avaient lâchés leurs arcs contre une épée à large bord se ruèrent sur lui...puis deux autres...puis...il se dit que sa dernière heure était venue...quand au sortir d’un nuage de fumée, sautant au dessus de corps enchevêtrés et Morgenstern au clair et tournoyant en écrasant les ennemis, il reconnu son ami, son frère de sang...Laurentiis...il tombait à point nommé et quand il entendit ce dernier lui crier ):

"Gardez vous à droite garwind, gardez vous à droite...!!!"

(Garwind eu juste le réflexe de parer un coup mortel qui l’aurait sans doute décapité...mais dans une feinte habile, ce fut lui qui ota la tête...et la vie de son agresseur...puis ce fut le tour d’un autre piéton de sentir la lame froide du Teuton lui traverser le corps, sans autre forme de procès...!!!

Quand il vit Laurentiis charger, il lui cria) :

"Laurentiis, mon frère...!!!...tu tombes à point nommé…je désespérais de te voir arriv..."

(Et encore une parade...et un mort de plus...le crâne presque fendu en deux...la blessure de garwind lui faisait mal mais la douleur lui donnait encore plus de cran et de fureur au combat...)

"...arriver...!!!...combattons ensemble, dos à dos, histoire de leur montrer comment se battent les Teutons...sauf si..."

(Et encore une parade et une esquive puis un grand coup de pied dans le ventre pour repousser son agresseur qui alla s’empaler sur la lance de l’un de ses comparses qui chargeait comme un sanglier...)

"...tu préfères rester à cheval, mais là, je suis en facheuse posture, c'est toi qui voit…quoi qu'il en soit, merci à toi mon frère...c’est Dieu qui t’envoie...!!!"

(Puis il fit tournoyer son épée en hurlant comme une bête pour laisser le champ libre à son ami Laurentiis...)

Milamber, qui avait abandonné son cheval, étant plus à l'aise à pied, se protégeait des coups d'un brigand furieux avec sa targe en bois criblée de flèches, alors que l'homme, peu entrainé au combat, donna un coup assené avec une grande force, Milamber sauta sur le coté et lui colla un beau coup de sa hache dans les côtes (je vous passe les détails). Cherchant des ennemis du regard, il vit un frêre qui se battait vaillament contre trois agresseurs, il se précipita à leur rencontre. Se déplaçant discrètement, il ramassa une lance qui trainait sur le sol, il la lança de toutes ses forces sur l'homme qui allait frapper le vaillant chevalier avec une espèce de fourche, certainement un pauvre paysan attiré par l'appât du gain. La lance se planta avec un bruit mat entre les deux omoplates due l'homme, qui s'effondra en hurlant. Milamber fit la grimace en entendant cela, sachant qu'il y avait été d'une façon très peu subtile. Il se jeta dans la mélée, prenant de cours les deux hommes encore étonnés par la mort soudaine de leur compagnon, pendant cet instant de stupeur, le chevalier en abatit un du tranchant de son épée luisante de sang. Milamber, comme à son habitude, fendit violemment le crâne du brigand restant avec sa hache. Il remarqua alors que l'homme qu'il avait abattu était jeune, très jeune ...

"Garwind, Finissons en avec les archers, qu'il ne puissent plus harceler nos arrières!!" Hurla -t-il à son frère de sang...

D'un bref regard, laurentiis embrassa la plaine du regard. Les corps commençaient à joncher le sol, mêlant teutonniques et brigands pour l'étérnité. Le combat faisait toujours rage, mais l'avantage commençait à pencher pour les Frères. La masse des fantassins ennemis était moins compacte qu'au début. La journée s'annonçait bonne. Plus que les archers et l'affaire était entendue.

Laurentiis tourna alors la tête à gauche et la sang reflua de ses veines.
Sur la colline, une masse indistincte de cavaliers ennemis attendait leur heure.

Sans désemparer, il se rua dans la masse clairsemée des archers qui commençaient à se débander

"D'abord en finir avec eux, on verra pour les cavaliers plus tard" pensa -t-il

"Les sons de cors... les épées s'entrechoquant... l'odeur de brulé, de sang frais... Il fait si chaud... Ce goût boisé..."

Alixe recracha la tisane de Forika. La tension était très élevé dans l'infirmerie, même à demi consciente, Alixe la ressentait.

...

Encore des gens, des frères blessés qui entrent dans la tente. Que se passe-t-il?

...

"Il fait si chaud ici... de l'air..."

Alixe parvint à se relever, utilisant son épée comme béquille. De la main, elle tira le rideau à l'entrée de la tente et comprit tout d'un coup le spectacle qui s'offrait à elle.

À quelques mètres, des hommes transpercés de flèches, d'autres décapités... Dans les bois, elle vit ses frères en armure combattant comme s'il n'y avait plus de lendemain... Puis Niwel, tenant la bannière d'une main et de l'autre, protégeant un périmètre se restreignant à la portée de son épée.

D'autres frères arrivèrent à la tente et Alixe dû libérer l'entrée. Près d'elle, une fumée s'échappait de la terre. Une flèche enflammée y avait rendue l'âme.

"Niwel... j'arrive..." Alixe était couverte de sueur sous son plastron et ses habituels pantalons de cuir.

"Comme il fait chaud ici..." Et elle vers sa soeur de sang, assurant son équilibre à chaque pas. À l'entrée du bois, elle vit un homme s'apprêtant à blesser gravement Niwel.

"NIWEL DERRIÈRE TOI!!!" cria Alixe, mais Imladrik avait déjà assuré la sécurité de Niwel.

Alixe tituba un instant et se rendit compte qu'elle ne pourrait combattre corps à corps. Mais il était trop tard pour faire marche arrière, un homme masqué s'approchait d'elle, une épée courte dans une main et une dague dans l'autre. Elle devrait combattre...

Caego toujours sur son cheval, ne sait plus trop où donner de la tête, il voit nombre de ces frères en difficultés, ils aident toujours du mieux qu'il peut, dans son combat il bouge sans cesse et sans s'en rendre compte il s'etait eloigné de ces troupes alliés et se retrouvait seul au milieu de l'armée ennemi, c'etait tres dangereux, mais il remarqua qu'il s'etait rapproché de Von Franken, il hesita a se lancer a ca capture, il regarda autour de lui cherchant CalaEog du regard, pour savoir si CalaEog lui fera un signe de la tête lui donnant son approbation ou si il de vait se demener pour rejoindre les troupes alliés, mais pour cela il allait de voir passer devant tant d'ennemi.

Neuling Nombre de messages : 33 Date d'inscription : 27/03/2006

Devilfox qui avait perdu Cageo des yeux pendant la bataille le chercha dans la mélée.Il le repera un peu plus loin seul un peu eloigne de la bataile.Il charga dans sa direction pour l'aider.
Au passage il coupa la téte de deux paysans.Il arriva enfin vers Cageo et il repera Von Franken qui semblait s'eloigner il voulu le prendre en chasse mais la batailel n'etait pas terminer.
Il s'approcha de Cageo.

Mon frere coment allez vous?Desole mais je vous ai perdu dans la cohu.
Un brigand essaya de poignarder Caego mais Devilfox lui couipa la téte.
Le seigneur Von Franken s'echape mais nous devons aider nos freres au combat.

Merci DevilFox.
Oui nous devons aider nos frères mais si nous le capturons le combat cessera peut etre, il nous faudrait un ordre de L'OrdenMarsshal.

Pour le moment repoussons les le plus possible, j'attends que CalaEog nous repere et nous donne son approbation d'un mouvement de la tête.

Couvre les arrières de Devilfox, plante son épée dans la main d'un des brigands, puis transperce la poitrine d'un autre.

Les nasaux des chevaux s’agitaient à toute vitesse. Le fracas des armes résonnait comme un déchirement cruel. A la sueur des hommes se mêlait celle des chevaux. A cette odeur de musc s’ajoutait l’odeur du sang. Les lames tournaient en tout sens dans des moulinets terrifiants. Chaque coup porté frappait fort et juste tant il y avait d’ardeur et de bravoure dans les bras qui les donnaient. Comme portés par une force immense, les chevaliers teutons se défendaient avec rage. Personne ne s’emparerait des reliques ! Galvanisés par une foi inébranlable, ils ne sentaient même pas leurs propres blessures. Il sera toujours temps de les compter ensuite.

Vhë maintenait avec difficulté son cheval qui ruait sans cesse. Sa lance s’était brisée dans le corps d’un manant qui avait cru bon de se jeter vers le cavalier. Epée au poing, il frappait quiconque passait dans son périmètre.

- Courage mes frères ! Courage !

Les bandits venaient en tout sens sans réelle cohésion. Ce qui ne facilitait pas la tache des défenseurs qui devaient se battre de tous côtés. Heureusement, il suffisait le plus souvent de les faire tomber avec sa monture. Mais ces vils mécréants étaient rusés et feintaient la chute pour se retrouver à plusieurs sur un seul chevalier. Tant bien que mal, la garde tenait.

- Igor ! Igor ! Toi et tes hommes accrochez vous au chariot ! Qu’aucun ne s’approche des reliques !

Igor acquiesça par un geste de la tête. Il cria à ses hommes

- Coefi Enarrant Gloriam Dei !

Et tous reprirent en cœur la devise de Frère Eckris, leur maître. Comme si c’était encore possible, ils se battirent avec plus de rage. Ne frappant qu’une seule fois sur chaque adversaire. Rapidement, le carrosse des reliques fut entouré de cadavres sanguinolents.

Occupée à préparer des onguents cicatrisants à base de miel, des pansements, à nettoyer des plaies et à distribuer des potions calmantes aux blessés... Florika se sentait complétement dépassée par la situation!

Pour un baptême du feu....!

Un écuyer vint la prévenir qu'un des blessés perdait beaucoup de sang.

Elle se retourna vers lui afin de lui expliquer comment il pouvait faire un point de compression afin d'éviter l'hémorragie, lorsqu'elle aperçut le lit d'Alixe vide.

S'interrompant dans son explication, elle la chercha partout du regard, et demanda à la ronde si quelqu'un l'avait vu.

Un des gardes lui apprit que Schwester Alixe était sortit rejoindre les combattants.

Florika, atterrée, se précipita hors de la tente et, faisant un bond en arrière, évita de justesse un cheval affolé au galop.

A quelques métres de là, elle vit Alixe se trainer jusqu'à sa soeur de sang, se servant de son épée pour se déplacer.

Mon Dieu... Alixe... Cria t elle à son intention....Schwester... de grâce revenez... vous n'êtes pas en état!
Mais le bruit grandissant de la bataille couvrait sa voix.

Dieu du Ciel... Alixe... mais, elle va se faire tuer! pensa t elle impuissante.

Les hommes du seigneur Hobst Von Franken s'approchaient toujous plus dangereusement des Saintes Reliques et toujours plus nombreux.
Nous étions assaillis de toute part, les mauvaises gens sortaient des buissons, rampaient doucement en notre direction, couraient et se jettaient dans la bataille, certains même se cachaient dans les arbres.

Un grand gaillard d'une vingtaine d'années, le visage balafré et rouge de colère, entouré d'un dizaine des siens vint se mêler à la rixe, il pourfendait les nôtres et se taillait une place confortable au sein de la masse, chaque coup de lame le rendait plus proche des Reliques.
Il ne semblait pas connaitre de points faibles et dispersait les Teutons, appeurés par sa vigueur monstrueuse.

Il se tenait maintenant à une dizaine de mètres des coffres, aussitôt je m'élançai vers lui, la distance me permit de me rendre compte de sa stature imposante, sa taille était celle d'un géant et ses épaules couvrait deux de nos hommes les mieux bâtis, ses bras paraissaient aussi agiles que le reste de son corps et maniait la lame d'une manière admirable.

"Frère Vhë ! A droite attention, couvrez la zone, il faut dégager le mastodon !"

Le géant d'un coup bien placé désarçonna son adversaire et le souleva avant de lui planter son épée dans les reins. Apercevant la scène, Frère Vhë comprit qui était le mastodon dont parlait Napoliu.

Vhë entendit Napoliu hurler. Il fit faire une volte à son cheval et vit l'immense créature qui s'approchait dangereusement. Il fallait agir au plus vite.

Il éperonna au sang sa monture et chargea sans plus attendre vers le monstre. Epée au poing il hurla :

- DEUS MANUM DUCIT !!!!!!

Son cheval prit très rapidement de la vitesse. Penché en avant, frère Vhë brandissait son épée rageusement. Alors qu'il était proche du géant, celui-ci poussa un grognement en montrant vhë de la pointe de son arme.

Le choc était imminent. Contre toute attente, Vhë n'essaya pas de frapper le monstre. Au dernier instant il lacha les bride de sa monture et se laissa tomber au sol. Le pauvre cheval s'encastra dans le géant qui dans un geste défensif brandit son arme. La surprise fut tout de même de taille. Le cheval périt dans l'assaut mais fit choir le grand homme qui s'écrasa lourdement à terre.

- Tu fais moins grand si près du sol Géant !

Vhë se releva rapidement en prononçant ces mots.

- A moi ici, il ne faut pas qu'il se relève !

McStorm prit de court dans la battaille, se battit sans son cheval en tant que fantassin, c'était la panique, ils nous tombaient dessus, il perdit son groupe et tomba sur 7 fantassins ennemis, McStorm se batti avec rage et bravoure mais il savait qu'il ne pourrait resister longtemps.
Après avoir tué et blessé 4 d'entre eux il sentit le plat du épée frapper tellement fort sur son crâne qu'il s'écroula...

Il ne prononça qu'un chose avant de tomber...

"A....ffi...xe"

Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 27/03/2006

Toujours à l'écart, entouré de ses cavaliers, Hobst Von Franken contemplait la scène de bataille et malgré ses pertes, semblait satisfait.

- La comédie a assez duré... La diversion est suffisante maintenant, ils sont pris jusqu'au coup ces chevaliers fanfarons ! Avec moi ! Hardis ! Allons piller cette bourgade et revenons accorder leur dernier soupir à ces manants qui se disent chevaliers ! Si nos piétons ne les ont pas écrasés d'ici là ! Heyyyyyyyya !

Hobst donna de l'éperon et dirigea son escorte au grand galop en direction de la ville.

- Pillez tout ! Pas de quartier ! A vous richesses mes amis !

Neuling Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 15/03/2006

Porta, épuisé et couvert de sang vit les brigands tourner brides.
Beaucoup de ses freres etaient tombés et il ne comprenait pas pourquoi les brigands ne leurs avaient pas donné le coup de grace. Titubant il rejoint le convoi criblé de flêches et se mit a disposition des religieux.

Puis-je vous aider?[/i]

regarda Von Franken, partir avec ses troupes en direction du village, Caego devait aller voir CalaEog, au plus vite.

Devilfox vient avec moi il faut rejoindre CalaEog et l'informer de ce qui se passe.

Il compta sur son cheval et fonça vers le CalaEog, il reussi à le rejoindre. Il l'informa de la situation et demanda ses ordre

SIR SIR , VONF FRANKEN FONCE VERS LE VILLAGE, DEVONS NOUS RASSEMBLER DES HOMMES POUR L'EN EMPECHER?

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