La bataille de Würzburg

(Après avoir repoussé les derniers archers et les avoir mis en fuite avec l’aide précieuse de son ami et frère de sang Laurentiis, Garwind regarda, l’air hagard, autour de lui...des corps ensanglantés, démembrés, des têtes coupées...un vrai massacre...et tout çà pour un seul homme avide de richesses et de pouvoir, comme de coutume...ce scélérat diabolique devait payer, et il le paiera de sa vie...!!!

Soudain, il sentit sa blessure le rappeler à l’ordre mais il était hors de question d’arrêter là. Il voulait à tout prix participer à la capture ou mieux, à la mort de cet infâme chef rebelle...!!!

Garwind déchira un morceau de sa tunique blanche à croix noire et en fit un tampon qu’il mit sous sa cotte de maille pour compresser la plaie et arrêter le sang. Heureusement, le carreau d’arbalète ne s’est pas trop enfoncé dans son épaule et la blessure ne lui fit pas trop perdre de sang…

Puis, il entendit les injonctions du Hoshmeister de l’Ordenmarschall et aussitôt, il remonta sur son fidèle Gorkal et appela son ami ) :

"Laurentiis, mon frère...!!!...avec nous...sus à l’ennemi...je veux que tu sois à mes côtés pour mieux savourer notre future victoire...!!!"

(Oui, victoire...le seul mot qui lui revenait en tête car pour Garwind, la défaite était à présent inconcevable…et quel plus beau dessein que de libérer un village d’innocents du joug de criminels menés par un soudard aviné et cupide qui se prétend Chevalier...!

Puis il talonna son destrier et cavala en direction de l’Ordenmarschall. Arrivé à son côté, son armure et ses cheveux collants couverts de sang, il lui dit):

"A vos ordres, monseigneur, je vous suis et suis prêt pour de nouveaux combats...!"

Allons botter le cul de ce salopard...heum...pardonnez-moi mes paroles, mais de voir tous ces morts et blessés de chaque côté à cause de la cupidité de ce maudits chevalier félon me révolte au plus haut point...!!!"

(Puis il attendit les ordres...)

Porta qui avait enfourché une monture qui trainait sur le champ de bataille pour se lancer a la poursuite de Von Francken et ses sbires arriva avec ses compagnons en vue du village ou le pillage commencait. Porta, macabre, proposa:

Boutons le feu au village, ca dispersera les bandits et c'est deja ca en moins qu'ils auront a piller!

La piétaille fuyait...pauvres fous...
Partout les corps jonchaient le champ de bataille. La victoire avait été douloureuse et encore incomplète...
Laurentiis entendit le cri de ralliement. Il fit faire demi tour à son destrier et emboita le pas de ses compagnons...
Une ville a sauver, et bien soit, la journée était loin d'être terminée et il fallait en finir une fois pour toute avec ce scélérat!

"Hardi Garwind, Hardi vous tous...Que la tête du scélérat tombe ce soir"

N'y pense surtout pas !!! Non seulement nous nous mettrions plus encore en danger, ayant à surveiller l'incendie en plus de l'ennemi, mais en sus, nous mettrions en danger ces gens que nous devons protéger ! Cela ferait de nous pires brigands encore que ce maudit.

Allez ! Il nous faut encore nous battre et l'empêcher de ravager la ville avec ses hommes ! Courage mes Frères ! Nous luttons pour les nôtres et pour ces pauvres gens, nous n'avons point droit à faillir !

A la charge !

Arrivant sur les lieux, regarda avec quel difficulté les citadins avait du mal a tenir l'assaut des Brigands, et il vit quelques cavaliers ennemis passer les barricades, il se decida a se lancer à leur poursuite pour les empecher de piller.

Sir CalaEog, Devilfox est resté en arriere pour aider ses frères. Je vais tenter d'empecher le pillage.

Il donna des coups d'estrier a son cheval et se rua puis sauta au dessus des barricades et se lança a la poursuite des cavaliers ennemis dans le ville. Il arriva a la hauteur de l'un d'eux et le frappa au dos car le chevalier adverse ne s'y attendait pas.Il tomba au sol, mais il en restait plusieurs dont Von Franken.

(A l’injonction de charge de l’Ordenmarschall, Garwind talonne son destrier et fonçe en direction du village avec, à ses côtés, son ami Laurentiis dont le regard en disait long sur ses intentions envers les brigands.

Ils arrivent tous deux pratiquement en même temps et font bondir leurs montures au dessus de la barricade d’un seul et même élan.

Le combat qui s’en suivit ce jour là fut assez bref mais d’une intensité rarement égalée.

Garwind, emporté par son élan, tranche le bras tendu d’un des cavaliers ennemis qui esquissait un mouvement vers le toit d’une chaumière avec une torche enflammée…torche qui resta dans la main et le bras tranchés qui tombèrent mollement dans l’eau boueuse du village.

Puis il poursuit sa course à travers le village quand soudain, dans une petite grange d’une maison, il entent la voix d’une jeune femme hurler à tout rompre. Il se dit :

"Si c’est bien ce que je crois, je vais les crever…foi de moi… !!!"

(Puis il descend de son cheval à la volée et fonce vers la petite bâtisse d’où proviennent les cris...

Quels ne sont pas sa surprise et son dégoût quand il voit le corps d’un paysan empalé avec une fourche contre le mur en bois de la grange et dans le foin deux des hommes du maudit chevaliers en train de violer une pauvre jeune fille terrorisée et qui hurle toute la peur de son âme meurtrie.

Garwind les apostrophe prestement en leur disant) :

"Alors comme çà, on s’en prend à une jeune femme sans défense… !!!...pauvre fous, vous venez de signer votre arrêt de mort…!!!"

(Puis, il empale dans la foulée un premier soudard alors que celui-ci se retourne, le regard surprit puis dans un geste rapide comme l’éclair, il envoie bouler dans la paille, sur le côté de la jeune femme en pleurs, le second soudard dont le pantalon baissé l’empêche de se mouvoir correctement.

Laissant son épée dans le corps du premier, Garwind décroche le pauvre homme empalé, lui ôte la fourche du corps et regarde d’un air mauvais le second larron en lui disant ):

"Voici un avant goût de ce qui t’attend en enfer…puisses-tu y griller pour l’éternité…!!!"

(Et il l’embroche d’un coup puissant, sans autre forme de procès…

L’homme meurt les yeux grands ouverts en fixant Garwind et dans un flot de sang qui jaillît de sa bouche et vient rougir la paille de la grange.

Puis Garwind se tourne vers la jeune femme en pleurs et en état de choc, il lui entoure sa cape autour de son corps partiellement dénudé et lui dit):

"Cachez-vous ici en attendant la fin des combats, petite demoiselle, je viens vous rechercher très vite… !

D’ici là, pas un geste et pas un mot…faites-moi confiance…je reviens vous chercher…"

(Puis il lui passe doucement la main sur le front, il y fait un signe de croix avec le pouce.

Ensuite, il récupère son épée plantée dans le cadavre du premier assaillant et ressort rapidement de la grange, remonte sur Gorkal puis repart à la recherche d’autre ennemis à pourfendre…!)

Niwel avait récupéré Forsch et suivit CalaEog. A la vue des brigands attaquant un village sans défense, une violente colère monta en elle. Elle talonna sa monture en criant:

"GOTT IST MEINER FÜHRER! DEUS MANUM DUCIT!!"

Forsch sauta par dessus la barricade, et Niwel le fit avancer dans le village. Les hommes de Von Franken combattaient ses Frère indiférrament des pauvres gens, ne voyant la fifférence que par la résistance qu'offraient les premiers. Un coup d'épée fusa vers elle. Elle le para de justesse. L'homme continua à la frapper, mais avec un éclair d'inteligence frappa le bras qui tenait l'étendart. Celui- ci fut transpercé, mais, essayant d'ignorer la douleur, Niwel frappa et tua l'homme. Malheuresement, l'épée était plantée dans son bras, et le poid du brigand dessus fit tomber Niwel.

Henri qui combatait avec Naniel, Niwel et Caego décupla sa force par la rage de voir autant de frères et de soeurs blessés il empoigna son épée à deux mains et, par un geste puissant, explosa le bouclier d'un paysan. Celui-ci (le bouclier) avait déjà été affaibli par ces frères et le détruire n'était pas difficile cependant il produit un effet inespéré en effet le paysan détala comme un lapin et d'autre de ces cammarades le suivirent. Henri rangea son épée et se précipita sur Niwel pour le dégager du brigand il lui dit alors :

Venez avec moi, vous devez voir soeur Florica mais avant nous allons aider Naniel à rejoindre l'infirmerie.

Henri arriva sur Naniel appuyez vous sur moi si on nous attaque vous vous appuyerez sur Niwel pour que je vous défende, c'est une excellente combattante mais elle est aussi blessée.
Henri cria alors à Caego :

Je sais que tu es capable de les battres alors va y je reviens bienôt avec mon cheval.

[Hrp]Oui je viens de voir ça mais comme il y a plusieur page je n'avais pas encore lu la deuxième (il faudrait éviter de changer trop rapidement) [/Hrp]

[Hrp]Niwel a déjà rejoint le camp à moins que je ne me trompe, il y a déjà posté[/Hrp]

Je vais faire ce que je peux Henry.

il sauta sur son cheval, puis se remit en chasse, il trouva d'autres cavaliers semant la terreur, à la vue de cela, il fonça vers l'un d'eux, coupa les lanières qui retenaient la selle du cavalier ce qui le fit tomber au sol, il ne bougeait plus, il etait au moins assomé. Puis Caego a entendu des cris provenant d'une masure, il sauta du haut de son cheval et rentra dans la masure. Il y vit deux brigands s'en prenant à une mère et ses enfants. Les brigands ne l'avaient pas entendu, il s'approcha discretement de l'un d'eux et le transperça. L'autre se retourna mais il avait deja le poignard de Caego dans la gorge. Il ressortit de la masure, mais son cheval n'etait plus la, il etait desormais fantassin.

Une bonne partie de la ville était déjà la proie des flammes. De partout, les villageaois sortaient en hurlant, les brigands à leur trousse. Tous se mêlaient dans une confusion totale. La fumée commençait à piquer les yeux, et l'odeur des chairs carbonisées ajoutaient à l'odeur pestillencielle.
Dans le dédale des ruelles, des groupes de trois ou quatre brigands s'en prenaient aux hasard aux gens affolés.
Ca et là, des cavaliers ennemis fauchaient tous ce qui passait à leur portée. Aucune trace de Von Franken...

Résolu à contre attaquer, Laurentiis avisa le premier cavalier. Il venait à sa rencontre.
Ils se retrouvèrent bientôt face à face. Le choc fut rude. Cheval contre cheval, corps contre corps...
Laurentiis frappa le premier...à la tête, mais ne put qu'imparfaitement esquiver le flléau de son adversaire. Celui ci s'abattit sur son épaule, lui faisant lâcher son bouclier.

Laurentiis se retrouva à terre en compagnie de son adversaire. Le coup porté à la tête n'avait pas été assez suffisant pour le blesser sérieusement et ce dernier se rapprochait de lui pour en finir. Dans un sursaut teinté de peur et d'orgeuil, Laurentiis se releva et le combat s'engagea...

Il esquiva de justesse un autre coup de fléau, puis un deuxième qui alla frapper le mur à sa droite. En position, Laurentiis asséna un coup de sa masse sur le bras de son adversaire, le désarmant, puis il enchaina un autre coup au visage du vilain. Ce dernier s'écroula immédiatement au sol...Inconscient
Dans sa furie dévastatrice, laurentiis frappa encore et encore son adversaire mort depuis déjà longtemps, transformant le visage du cadavre en une masse informe de chair et d'os écrasés...

"Pas de prisonniers, pas de prisonniers !!!!" Hurlait-il à qui voulait l'entendre...

Son épaule lui faisait un mal de chien. C'est à peine s'il pouvait bouger son bras gauche

Ahhhhhhhhh ! Pillons ! Brûlons !

Allez mes frères ! Et abattez tous ceux qui résistent !

Et pas de Teutons prisonniers ce soir ! Qu'ils payent pour s'être interposé !

Devilfoix rentra dans le village a feu et à sang ou ses freres luttait deseperement.Son cheval sauta la barriere et devilfox rejoignit McsStorm qui luttait seul.
Il trancha la téte d'un cavalier et en enpala un autre dans le dos.Il arriva enfion devant McStorm.
Ravi de te voir en vie mon frere.

McStorm monta sur le chaeval de devilfox.Ils s'elancerent dans la villel a la recherche de Von Franken.Sur la route ils tuerent deux cavaliers.Ils trouverent Cageo a a la poursuite de Von Franken.
Caego rejoind nous on essaye de l'avoir avant qu'il s'echappe.
Devilfox et McStorm virtent Von Franken en train de s'echappaer sur un cheval.Devilfox pressa l'allure pour arirver a son niveau.

Kane, qui n'avait pas reçu de nouvelles de la part des Teutons depuis longtemps aperçu une troupe de guerriers, mais ce n'était pas des polonais et non plus des paysans. Il observa de loin et repera un messager Teuton avec eux, il n'avait pas l'air menacé ni pris en otage. Se pourrait-il alors que se soient les Teuton eux-mêmes qui appelé ces personnes, et si c'était le cas ce serait des renforts!!!

Un étrange présentiment le submergea. Il parti au triple galop en direction de ces nouveaux arrivants.

Lorsqu'il arriva près d'eux un cavalier se mis en position de combat mais il reconnirent la marque Teutonne sur ma tunique.

"Bien le bonjour à vous, puis-je vous demander ce qui se passe?"

Il se retourna vers le messager qui avait l'air alarmé.

"L'Ordre a-t-il des problèmes ??! REPONDEZ !!!"

VifArgent avait disparu...
Laurentiis se releva, couvert de sang et de morceaux de chairs et d'os.
Son bras gauche le lançait terriblement. Il tenta de ramasser son bouclier, mais dû se rendre à l'évidence. Le coup qu'il avait reçu avait été rude et la mort rôdait plus près de lui maintenant qu'elle ne l'avait jamais fait. Il laissa choir sa dernière defense, et se mit debout en s'aidant de sa morgenstern. Son arme n'était plus qu'une masse indistincte en acier, recouverte du sang de tous les ennemis qu'il avait vaincu. Dans les interstices, il apperçut des morceaux de cartilage, ou des cheveux...

Absorbé dans la contemplation de cette étrange oeuvre d'art, il eut juste le temps d'apercevoir le cavalier qui arrivait vers lui. D'un rien, il esquiva sa lance et roula le long du mur pour se réfugier dans la masure. La porte céda sans difficulté, mais déséquilibré, il aterrit lourdement sur le sol. Une douleur fulgurante lui déchira le bras de plus bel et il poussa un hurlement de douleur. A l'aide de sa masse, il rempa vers le fond de la maison.

Tout à coup, un ombre s'avança dans l'embrasure de la porte, grandissante et menaçante...Laurentiis toujours à terre vit s'approcher la mort en personne. Un lourd ostrogoth armé d'un énorme hache progressait lentement. Il avait la machoire carré, et ses yeux noirs inspirait la cruauté et semblaient respirer la haine. C'était une montagne de destruction en approche. Sa propre mort arrivait doucement et il ne pouvait rien faire que de continuer à ramper sur le sol, essayant vainement de se relever...

"Alors chien de teutonnique, qu'est ce que ça fait de sentir sa dernière heure arriver, hein..Tu ne vas pas mourir tout de suite crois moi sur parole" Il partit dans un rire bestial, sur de son avantage.

"Seigneur, je vais te rejoindre, permets moi de m'assoir à ta droite..." Pensa Laurentiis, sans perdre du regard le manoeuvre de son adversaire

L'homme leva sa hache, prit son élan tel un bûcheron et l'abbatit sur laurentiis. Il eut juste le temps de tenir sa morgenstern avec ses deux mains pour faire obstacle à la course de la hache. Il avait toujours mal au bras, mais qu'importe, sa douleur serait bientôt terminée.

le choc fut d'une violence inouï. Le geste desespéré de Laurentiis fit dévier l'arme du némésis sur la droite. La lame ensanglantée du sang de tant d'innocents se ficha dans le sol à quelques centimètres de sa tête

"je suis vivant?" se dit il
la colère et l'incompréhension se lisait sur la visage du bandit...

"Rhââ, je vais t'étrangler" Rugit l'homme...

laurentiis sentit les mains de son adversiare lui serrer la gorge. Il tenta de se dégager du mieux qu'il put, mais ses poumons étaient en feu, il sentait le poids de l'homme sur sa gorge, l'étau qui se resserrait. Il n'avait plus qu'un bras valide...Un voile noir tomba devant ses yeux, comme si la nuit tomabait en accéléré...Il pensa à Sissi...L'homme sentait l'ail et le mauvais alcool...

"Mon dieu, je vais partir avec cette odeur dans le nez...ce ne sera donc pas les roses de ma douce" Pensa t-il résigné...

Tout à coup, l'étreinte s'arrêta, puis se relâcha doucement. l'air s'engouffra dans sa gorge endolorie et dans ses poumons. Le jour semblait se relever. Le visage de la brute était toujours à quelques centimètres de lui, mais son regard avait changer, il n'exprimait plus que de la surprise. Laurentiis fut surpris de voir la vie peu à peu quitter les yeux de son adversaire qui soudain s'écroula sur lui dans un couinement bref. Dans l'encadrement de la porte, il vit alors un jeune garçon, douze ou treize ans tout au plus. Il tenait dans la main droite un énorme couteau de boucher maculé de sang, en tout cas trop gros pour la main d'un enfant. Le petit était habillé de haillons et derrière lui, une petite fille blonde encore plus jeune sanglottait.

rassemblant ses dernières forces, laurentiis fit rouler le corps du mort sur le côté. Il avait le flanc gauche ouvert. Une plaie béante en fait. Laurentiis se laissa retomber, se demandant comment un môme avait pu venir à bout du monstre.

"Merci petit..."Articula t-il avec peine.

le jeune garçon referma vivement la porte et s'approcha de laurentiis. les deux enfants encadrèrent bientôt le teutonnique...