JOUTES DE NOEL

Moi Dentdefer ! EEEeuhhhhhh ! Euuuuuuuuuuur ! rrrrrrrra !
Il crache
Nom de nom de nom de D….

Moi Dentdefer ! J’ai été désigné par Notre Hochmeister comme arbitre du tournoi.

Les jouteurs ont été répartis par tirage au sort par paire :
Auguste_Bertrand contre Tohme
Rethun de Rhodes contre Beauprai
Naynai contre HenriXVI
Napoliu contre Irismus
Naelin contre Plissken
Calaeog contre Imladrik
Alixe_de_Beauvoir contre Amidamaru
Et Benedictus contre Laho

Que chacun communique désormais par mp à notre Hochmeister son choix tactique et attende la réponse.
Exception ! Laho et Benedictus le feront à Frère Eckris qui gérera ce combat particulier !

Que Dieu guide vos bras !

Teeeeeeeeeeeuuuuu teuuuuuuuuuuuu teeeeeeeeeeeeeuuuuuu aarrrrrrrrrrrggggggg !

Benedictus ! Benedictus ! Benedictus !

Ces joutes seront un excellent entrainement si nous devons prendre les armes pour s'interposer entre la Savoie et la Franche-Comté .

Les joutes avaient commencé. Les oriflames et les blazons de toutes les couleurs et de tout les formes flotaient au vent. L ambiance etait a la fete mais la tention reignait entre tous les participants. Frères ils l etaient tous par le sang et la foie, mais l espace d un instant, pendant les 5 minutes durant lesquelles ils s elanceraient brillants et eclatants sur leurs cheveaux, la lance en fermement ancrée a leur main, ils seraient des advesaires.
Chacun allait et revenait, prenant soins de son armure, de sa lance et de son cheval. Tous se concentraient d une facon ou d une autre.

Laho savait qu il avait un sacré parti face a lui, il devait rencontrer Benedictus, Hochmeister de l ordre, chevalier devant les chevaliers. Nerveux mais serains, excité mais conscient du danger qui l attendait. Il se présenta apres avoir été apelé.
Il monta sur son cheval, enfila son casque, ilfaisait chaud sous l armure malgré le froid. Il prit sa lance tendue par un ecuiyer qu il remercia. Il leva son visage vers la lice et commenca a se retourner en lui meme. La petite litanie contre la peur encore s imposait a lui. Il cherchait en lui les chemins qui pourraient lui permttre de battre mentalement Benedictus pour ensuite le battre sur le terrain.
Les deux chevaliers se presenterent et se saluairent au milieu de la lice sous les clameurs des villageois et des curieux venus assister aux combats. Puis chacun pris place a un bout de la lice.

Au signal tout deux partirent au galop! Laho sentaient sous ses tempes son coeur battre a tout rompre! La tension de plus en plus vive et insoutenable. Il percut un instant le calme de Benedictus. C eatait la sa chance. Au dernier moment, avec plus de nervosité que de savoir faire, Laho se pencha en avant portant tout son poids sur sa lance pensant ainsi surprendre le calme de son adversaire. c etait sans compter sur les qualités de combatants du Hochmeister qui serainement ecarta la lance de Laho, mais au dernier moment alors que la lance de Benedictus devait le frapper en plein torse, Laho réussit a dévier la lance ennemie avec la garde de la sienne.
Les deux chevaliers finirent leur passage sans qu aucun des deux n ai touché l autre. Match nul!

Laho regagna son box et enleva son haume et mit pied a terre, il parti felliciter Benedictus.

Magnifique parade cher Maitre! J espere que nous aurons bientot la chance de croiser la lance a nouveau afin de nous departager.

Puis il sourit et s en retourna boire une petite biere afinde se remettre de ses emotions.

Belle action frère Laho !

Le second match allait opposer le WdHL Auguste au Bruder Thome.

Déterminé à renporter la rencontre, Auguste s'avança sur le terrain.
Il monta sur son cheval, saisit la lance, fit tomber la visière de son casque et attendit le coup d'envoi.

Quelques secondes plus tard ce dernier retentit et A_B chargea. Il lança son cheval à toute vitesse et fit mine de viser le bouclier de son adversaire. Mais au dernier moment il releva son arme et le toucha à la tête.
Le Brüder chuta de son cheval mais Auguste ne put savourer sa victoire. En effet ce dernier avait égalemment été éjecté de son cheval.

Lorsqu'il réalisa qu'il était tombé, Auguste jura. Une fois debout il alla féliciter son adversaire et lui glissa:

Je crois bien qu'on est partit pour une seconde manche

Le cheval de Napoliu faisait claquer ses sabots sur le sol gelé et on pouvait alors sentir la puissance de l'animal. Napoliu tira un grand coup sur la bride et l'animal se cabra puis retomba alors avec légéreté.
A cet instant le cheval partit au galop et toutes brides abattues Napoliu tendit sa lance comme pour défier son frère Irismus

(dont il ne connaissait absolument rien)

Benedictus se prépare à affronter pour un second assaut le frère Laho. Il porte à son bras droit un tissu violet.
Il sait que l'homme en face de lui est vaillant. Le premier choc l'a prouvé.
Il éperonne sa monture et se lance contre son adversaire qui en fait autant. Il vise l'écu.
La lance de bénédictus heurte violemment le bouclier de Laho mais ce dernier touche au même moment le hochmeister au sommet du casque.

les deux hommes tombent à terre !

Des frères présents se précipitent vers les deux hommes. Benedictus est inconscient.
Il est transporté vers le château accompagné de Laho qui souffre de contusions mais sans gravité

Benedictus ! benedictus ! Bene.... !

Laissez-moi passer ! Je sais ce qu'il lui faut !

Frère Gunther sort une petite fiole de verre remplie d'un étrange breuvage de couleur verte.

C'est une préparation personnelle !

Il en donne quelques gouttes au Hochmeister qui ouvre aussitôt les yeux

Où est ma lance ? Mon cheval !

Benedictus est remis en selle !

Frère Gunther, tu as sauvé notre Hochmeister.
Toi et tes brevages ont de grand pouvoir.

Benedictus s'élance pour un troisième assaut.
Décidemment, ce Laho est un coriace.

Les lances sont baissées et les deux hommes avancent à vice allure sur leur monture l'un contre l'autre.

le bruit des lances sur le métal des armures est terrible. Laho est désarçonné ! Benedictus vacille mais ne tombe pas.

Il met pied à terre et se précipite vers le Bruder qui se relève péniblement.

C'est un honneur que d'avoir jouté contre vous frère Laho !

Remettant son casque en place, Auguste s'avança vers son cheval.
Son épaule droite commençait à lui faire mal mais ce n'était pas le moment de penser à ça.
Aider d'un écuyer il prit place sur son destrier et cala sa lance.

Le frère Thome ne se fera pas prendre 2 fois au même piège, se dit-il. Cette fois-ci je viserais la tête directemment.

Le signal retentit et les deux combattants s'élancèrent.

Auguste mis toute sa hargne et fonça à pleine vitesse. Il alla si vite qu'il heurta de plein fouet son opposant qui chuta. Cette fois-ci le Warter resta sur son cheval.
Stoppant sa monture, il laissa sa lance à l'écuyer et descendit. Beaucoup de monde entourés le frère Thome qui avait été violemment touché à la tête, en attestait les restes de son casque qu'on avait déposé un peu plus loin.
Inquié, A_B s'approcha, un peu plus tôt le HochMeister et le frère Laho avaient été sérieusemment amochés. Il fut aussitôt rassuré par l'assistance. Thome s'en tirerait au pire avec une belle cicatrice, cependant il lui faudrait un peu de repos.

Désolé, lui fit A_B en souriant et en lui tendant sa main. Je n'ai pas contrôlé mon coup. Je t'offrirais une bière quand tu seras pleinnement rétablit.

Il se dirigea ensuite vers la zone de repos et se fit enlever son armure.

Le genou au sol, Laho s appuie sur sa lance brisée sous le choc de la derniere charge. Les perles de sang qui se crystalisaient sur le sol gelé lui indiquait qu il avait été blessé, mais la douleur ne lui parvenait pas encore, probablement une égratignure.
Laho attrapa la main tendue de Benedictus et lui sourit.

Merci pour ce combat, votre bras n a, une fois de plus, pas failli, mais il s en est fallu de peu

Dit Laho en montrant a Benedictus la pointe de sa lance fichée dans le bouclier du Hochmeister.

Qui sait ce qu il serait advenu si cette lance n avait pas cassé.

Le sourire au levres Laho apella la foule a rendre hommage a Benedictus.

C'était au tour de Henri, il arriva sur la lice, tenant par la longe un cheval décoré pour l'occasion il se dressa dessus et ce plaça le long de la barrière pour voir son adversaire de face. Malheureusement pour lui lors de la charge celui-ci fut plus précis et désarçonna Henri.

Bravo lui dit-il en se relevant c'était un jolie coup.

naynai avait percuté henri en plein tête, se qui le déséquilibra trés vite. il alla voir son frère pour l'aider à ce relever

Près pour le deuxiéme tour.

Toujours pret répondit Henri

Excusez moi frère Napoliu

Le frère Napoliu s'assit sur le banc et observa les deux compétiteurs, ils avaient l'air tous deux robustes et le combat promettait de belles prouesses


(il faudrait faire attention à votre orthographe mes frères, Erasmus pourrait vous aider à la bibliothèque)

Alixe et Amidamaru étaient chacun à un bout de l'arêne de joute. Les deux adversaires s'élancèrent au signal.

D'un côté de l'arêne :

Alixe frappait violemment le flanc de son cheval afin de gagner le plus de vitesse possible. Son corps de femme n'était pas aussi massif que celui du HausKomtur. Elle devrait profiter de l'inertie de son mouvement si elle avait une chance de remporter cet engagement. Elle visa la tête. "Si je dois toucher, que je touche là où ça compte!" s'était-elle dit. À quelques mètres de son adversaire, elle leva le bout de la lance à hauteur de tête.



De l'autre côté de l'arêne :

Amidamaru avait en son cheval un fidèle compagnon. Au coup d'envoi, son cheval s'élançerait au moindre petit signal de la part du cavalier. Amidamaru filait droit vers son adversaire. Ne connaissant pas la résistance de son adversaire, il visa d'abord le bouclier : les blessures seraient ainsi moins graves. À quelques mètres seulement devant lui, Alixe élevait sa lance pour le frapper à la tête. Face à cette action, il décida de faire de même et visa plutôt la tête.

L'instant suivant, il y eu un choc violent.

Alixe n'y avait vu que du feu, et un bout lance de très, très près! Elle vola de sa monture.



La première chose qu'elle vit en ouvrant les yeux, était son frère Amidamaru sur son cheval, la visière remontée et un air inquiet dans les yeux qui, petit à petit, se changeait en regard amusé.

L'orgueil d'Alixe fit en sorte de la relever aussi vite qu'elle était tombée. Elle courut vers son cheval, le monta et empoigna le bouclier et la lance qui lui étaient tendus.

"Reprenons, mon frère! Je vous en dois une!"

Amidamaru se dirigea vers son côté de l'arêne et rabaissa sa visière. Tous deux étaient prêt pour le second assaut.

Nom de..........; Teuuuuuuuuuuuuuuuuuh tueh teuhhhhhhhhhhh
Le frère Irismus est déclaré forfait ! Il a mis trop d'temps à enfiler son armure !
Frère Napoliu passe donc le premier tour !!

"Bah dis-donc j'ai bien fait de m'asseoir, mais je suis tout de même assez déçu !"

Napoliu garda donc son énergie pour encourager ses Frères

HenriXVI je suis heureux de constater vos progrès en Français, Erasmus vous a bien conseillé

Dommage que le second assaut n'a pas été effectué il aurait été interréssant.

Merci frère Napoliu

Teuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh arrrrrrrrrrrrrrggg !
Il crache

Il faudrait voir à ce que les frères Beauprai, Rethun, Plissken, Naelin, Calaeog et Imladrik se mettent en selle.
Il commence à cailler sec dehors !
Soeur Alixe, faudra faire vot'combat plus tard. z'êtes éliminée !

TTttteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeehuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuhhhh teuuuuuhh !
Sal'té d'crève !

"Et bien, frère Dentdefer ! Ne vous impatientez pas, nous arivons !"

Plissken en Naëlin se saluèrent vigoureusement avant de gagner chacun une extrémité de la lice. Ils montèrent à l'unisson en selle, et se parèrent de leur bouclier et de leur lance.
La tension se lisait sur leur visage, avant qu'ils ne rabattent chacun leur visère.

Le Hochmeister Benedictus leva une flamme rouge, signe que les cavaliers devaient se tenir prêts. Naëlin avait les pieds bien calés dans ses étriers, et la pâle lumière du soleil d'hiver qui se reflétait sur le casque de Plissken semblait lui indiquer la cible à toucher. Il assura sa prise sur sa lance, planta son regard en direction du bouclier de son adversaire...
... et s'élança. Benedictus venait de relâcher la flamme, signe de départ.

Il ne fallut pas plus d'une poignée de secondes aux deux frères pour traverser la lice en direction l'un de l'autre, mais ce temps sembla une éternité au Botschafter. Le galop de sa monture résonnait jusque dans son torse, à l'unisson avec son cœur. Il envoya sa lance vers le bouclier de Plissken : il ne voulait pas le blesser, juste le désarçonner. Mais au dernier moment, il vit que celui-ci avait levé sa lance. Il donna donc un ultime coup de talon à son cheval pour que celui-ci bondisse en avant. Naëlin se pencha de tout son être, arc-bouté en avant, la lance le plus loin possible. Il vit la scène arriver avec une lenteur onirique : son arme allait se ficher das la tête de son adversaire, alors qu'à l'inverse, la lance de Plissken s'engageait vers son épaule.

"Oooooooooohhhh !" cria la foule.

Puis tout alla très vite. Naëlin se retrouva à l'autre bout des lices. Sur son cheval. Il ne ressentait pas de douleur. Le bout de sa lance avait volé en éclats. Son bras était tremblant d'un choc terrible.

Il mit pied à terre et se tourna pour découvrir son frère, à terre, le casque fendu et du sang ruisselant dans le cou. Pris d'une panique sourde, l'amabassadeur courut vers son frère au moment où Benedictus se relevait en disant "il va bien, il est juste sonné... et a quelques egratignures. Qu'on le lave et lui donne un nouvau casque !"

C'est alors la fierté qui prit le pas et Naëlin leva les bras en signe de victoire : la première manche lui était acquise !

On amena le cheval de Rethun jusqu’au point de la prise d’élan, le cheval nerveux fut maintenu avec grande peine.
Rethun s’en approcha, posa sa main sur l’encolure du cheval qui se calma sentant la présence apaisante de l’Ordenmarschall.
Rethun se mit en selle, prit l’heaume qu’on lui présenta ne regardant nullement l’impressionnante silhouette de Frère Beauprai déjà en place, bouillonnant du désir d’en finir au plus vite.

Il remit en place le « tissu » de soie bleu qu’il avait à son bras jeta un dernier regard en direction de la foule, enfila son casque et prit une des lances posées.
A partir de cet instant il ne quitta plus des yeux son « adversaire » et ami Beauprai.
Le Cheval au signal bondit comme un fauve sous l’impulsion de Rethun, qui abaissa lentement sa lance compte -tenu du poids de celle-ci.

Arrivé à quelques mètres de son adversaire, il mit sa lance en position visant la tête de Beauprai.
Le choc fut d’une violence telle que Rethun fut désarçonné et chuta lourdement sur le sol ne sachant pas si son adversaire était vainqueur ou comme lui au sol.
On l’aida à se relever, ce n’est qu’à ce moment qu’il aperçut Beauprai, déjà debout, prêt à en découdre dans la seconde manche.
Il se demanda comment il avait fait pour ne pas avoir d’os brisés après un tel assaut.
Beauprai approcha afin de s’enquérir de la santé de Rethun, rassuré ils prirent tout deux la direction de leur tente respectives afin de se préparer pour le second assaut.

Beauprai se dirigea d'un pas décidé vers sa tente. Comment avait-il pu garder un tel sourire avec une telle douleur dans le dos… C'est toute la question.
"Le bluf, le bluf… c'est ce qu'il y a de plus important à mon poste. Mais contre un OrdenMarschall plus habitué aux manières de la guerre… et visiblement mieux entrainé que lui, cela ne compte pas beaucoup. Beauprai se dit qu'il devrait passer moins de temps dans la loge et la bibliothèque… Mais bon, puisqu'il faut jouter, joutons.

Beauprai se secoue un peu, essaye de se détendre, de faire bouger ses épaules…
On l'aide à réajuster sa cuirasse…
Et il peut enfin sortir de sa tente…
Aborder un sourire vaillant, avoir l'air sûr de lui… et cacher cette raideur due à son dos.

"Alors Frère Rethun, remis de vos émotions ? "

Beauprai s'approche de son cheval. Se met en selle… abaisse la visière de son casque. Grimace un peu. Il fait approcher son cheval du râtelier où se trouve les lances, en prend une, fais manœuvrer son cheval pour être dans l'axe du terrain.

Beauprai salue Rethun.
Abaisse sa lance, talonne son cheval, se rapproche de plus en plus de Rethun. Sens un choc lourd, vois le ciel dans un éclair; et atterri dans un nuage de poussière. Il a juste l'impression d'être étendu les bras en croix pendant une éternité. Il s'appuie sur les bras, se redresse pour voir Rethun casque relevé, ruisselant de sueur mais souriant de sa victoire.
Beauprai voit son ami sauter prestement ("mais comment fait-il ?") de cheval et lui tendre la main pour le relever. Il serre Rethun dans ses bras en le félicitant.

Citation :

Ecrit en collaboration avec Rethun, qui a eu des problèmes pour ne pas effacer ce qu'il avait écrit