Les lices

C'est un endroit réservé aux gens d'honneur. Montrez votre valeur, fiers Teutoniques !

CalaEog arrive sur la lice, tenant par la longe un cheval et de l'autre main une masse d'arme. Jetant un oeil à la ronde, il ne voit personne. Un peu dépité, il s'adresse à qui veut l'entendre :

-Mes Frères, si tel est votre désir, je suis prêt à rencontrer en assaut celui d'entre vous qui le désirera, à la lance ou à l'arme de son choix.

Je suis près à te défier Frère CalaEog

Halte là mes frères. C'est moi qui donne le signal du début des tournois et qui pratique le tirage au sort. J'attends simplement la venue des derniers frères et souers nouvellement nommés pour commencer.
Par contre, s'il s'agit de simple exercice, ce lieu vous est destiné.
Mais les affrontements se font alors à la lance légère pour éviter les accidents inutiles.

pax Vobiscum

Ainsi sera t il fait Hochmeister Benedictis, entraînement à la lance de joute ou à l'épee d'entraînement selon le choix de notre Frère Imladris.

A moins que ce ne fut à la quintaine ? Quel est votre choix cher Imladris ?

Hâtons tant qu'il fait jour et avant que la neige ne tombe sans quoi si nous utilisons les chevaux nous pourrions les blesser inutilement.
Et si ma fois la neige nous surprend nous irons nous réchauffer d'une bonne soupe de Frère Gunther...

Ma foi j'aimerais vous affronter à la lance. Vous avez raison hâtons nous avant d'aller boire une bière.

- Ainsi donc Imladrik, nous nous affronterons à la lance d'entraînement. Et peut être si nous avons le temps pourrai je vous apprendre quelques techniques d'espée.

CalaEog monte ensuite en selle. Ce n'est certes pas un de ces magnifiques frison qu'il monte pour l'instant, réservés qu'ils sont aux meilleurs chevaliers tant leurs qualités sont nombreuses en combat (et ô combien précieuses), mais il ressent quand même une certaine joie de pouvoir ainsi monter et user d'armes nobles en assaut. La croix même brodée sur son surcot est pour lui immense honneur, et c'est la tête haute malgré le vent glacial qu'il se dirige vers le bout de la lice au petit trop pour échauffer sa monture.

- Que diriez vous cher Brüder si nos compétences nous le permettent d'organiser plus tard un entraînement "à l'anneau" ou "à la quintaine" ainsi que des leçons de manienement d'espée? Quoiqu'il en soit, choisissez le signal du départ et que le Seigneur guide notre lance.

Frère Gunther passe non loin de là. Il est chargé de deux seaux remplis de soupe de poireaux. Il regarde les deux frères se préparer

Pffff. Quelle dépense inutile d'énergie.

Il continue son chemin en gromelant

Tentant désespéremment de sortir de la Taverne avec son tonneau (cf: topic Taverne ), Auguste aperçut les deux frères qui s'entraînaient à la joute. Il sourit et pensa:

Il faudra que je m'y mette aussi.

Syls prit une épée de bois près de lui Quelqu'un souhaite faire un combat à l'épée de bois contre moi pour pratiquer?

Rethun fit un détour par la lice du chateau afin d'y verifier l'état génèral en prépartatif de la future joute.
Il descendit de cheval, nul déterioration, le terrain était en parfait état les joutes seraient de trés grandes qualités.

Rethun s'attarda et regarda avec grande attention, les Frères qui s'y entrainaient.
Il vit Frère Sys tenant un épée de bois, se dirigeant vers un mannequin par manque d'adversaire d'entrainement.

L'Ordenmarschall retourna à sa monture et prit les 2 épées à deux mains accrochées aux flancs du cheval, qu'il avait prit le soin de récupèrer à l'armurerie du Chateau avant de venir.
Il traversa la place de joute et se dirigea vers Frère Sys, arrivé près de lui il planta les deux épèes dans le sol, l'invita à choisir celle de son choix.

-Faites moi l'Honneur de croiser le fer avec moi, Frère Sys cela sera un exellent entrainement et un plaisir si vous acceptiez.

Oui, bien sur frère Rethun, Mais n'y aller pas trop fort... Je manque d'expérience... Il faudra me montrer! Syls prit l'épée et se mit à garde maladroitement

Rethun regarda d'un oeil averti Frère Syls, cachait il son jeu ou etait il novice en la matière

-Si vous le désirez, nous pourrions faire de simples petits enchainements.
Vous devez savoir qu'avec le poid de ces lames, nous pouvons être tres vite emportez par l'élan.

Une petite séance d'attaques-parades serait interessante et si vous ne cachez point votre jeu dans le maniement de cette arme ou vous débrouiller bien....ce sera un plaisir de croiser le fer plus souvent avec vous et bien sûr proteger par nos heaumes.
Il prit son épée à deux mains et se prépara à recevoir l'attaque de Frère Syls

Oui, cela me plaît... Syls leva son épée puis s'élança pour tenter de frapper son adversaire verticalement

Napoliu arrive sur le terrain et regarde attentivement les joutes, se disant avec peine qu'il ne sait pas manier l'épée et qu'il ne partira donc jamais en croisade si seulement quelqu'un lui pouvait apprendre, il porterait le le flambeau de L'Ordre jusqu'en Terre Sainte.

-Quelqu'un pourrait-il m'apprendre à jouter, j'en serai très honoré ?

Napoliu, le regard fixant le combat entre les deux frères

Passant derrière le Jeune Brüder, Auguste secoua la tête. Bien sûr il fallait pouvoir se battre, mais le départ en croisade est avant tout une question de volonté.

Il sortit alors sa deuxième épée qu'il portait à sa droite et la tendit au frère Napoliu:

Mon frère, si tu le veux bien, je serais ton adversaire.

Cheminant vers le perron de la chapelle Saint-Maurice, les bras chargés de livres de vélin, Naëlin s'arrêta un instant pour contempler les combattants. Il remarqua avec amusement les passes de Syls et les parades de Rethun. Le premier ne semblait pas très enclin à manier l'épée à deux mains, arme trop lourde et encombrante pour son style, plus léger. Peut-être la lance de fantassin lui serait plus adaptée.
A la remarque de Napoliu, il se tourna vers lui et s'approcha. Ses pas crissaient dans la neige fraîche.

"Ma foi mon frère, un jour prochain, je me ferai un plaisir de me dégourdir les articulations avec vous. En attendant..."

Laissant sa phrase en suspens, il s'approcha un peu plus près des duellistes et lança à l'OrdenMarschall :

"Si les courbatures ne vous saisissent pas trop vite, je suis votre homme pour quelques passes d'armes lorsqu'il vous siéra de terminer avec Syls. Je reviens tout de suite"

L'ambassadeur prit la direction du Château et glissa, en passant, une petite phrase à Syls, tentant de ne pas trop le déconcentrer. "La lance sierrait mieux à ton style, Bruder, je pense".

...

Quelque minutes après avoir disparu dans les méandres des couloirs de Marienburg, Naëlin reparut, habillé de façon plus sobre, fourreau au ceinturon. L'épée à son côté n'avait rien de merveilleux. La garde, visible, dénotait une facture moyenne, sans fioriture. La lame ne semblait pas très longue, il s'agissait manifestement d'une épée légère et fine. Mais la poignée, dont le cuir était patinée, comme c'est souvent souvent le cas sur les armes qui ont longtemps servi, laissait deviner un travail de forge plus précis, une arme plus lourde, de taille plus que d'estoc.

"Rethun, je suis à ta disposition", annonça sommairement le Botschafter, les yeux pétillants.

*@&≈ Ω# de deuxième page ! Désole pour les posts que j'ai "sauté".

Syls, voyant la surprise de Rethun, appuya fortement sur l'épée puis, d'un coup d'épaule bien placé, propulsa légèrement le OrdenMarschall vers l'arrière, puis se remit en garde avec un peux plus d’assurance

Syls entendit Naelin lui parler de lance et baissa sa lame et le chercha des yeux, puis le revoyant revenir lui répondit

Je vais tenter la lance mais avant je voudrais m'entraîner à l'épée légère ainsi qu'au bouclier... Comme vous l'avez remarqué, je ne me sens pas à l'aise avec une épée à deux mains, savez-vous où je pourrais trouver l'équipement? Pendant ce temps vous pourrez combattre Rethun…

Rethun compris vite que le jeune Bruder n'etait pas à son aise avec ce style d'arme.
Syls aprés l'avoir repoussé abaissa son arme, Rethun fut surpris de le voir abandonné si vite..
Lui pensait qu'il fallait travaillé les armes ou l'on se sentait plus faible voir mal à l'aise, sur un champs de bataille on avait parfois pas le choix de ses armes.

Cela n'était pas trop grave, Syls avait encore le temps pour progresser.
D'autant plus qu'un adversaire en l'occurence Frère Naelin était apparu après avoir été chercher une arme.

Rethun regarda l'épée que portait Naelin, puis se dirigea vers sa monture vers laquelle il avait laissé son autre épée plus adaptée au style de combat que lui proposait Naelin.
Il l'a prit et revint prés de Frère Naelin, le salua d'un geste de son épée.

-Frère Naelin, peut etre désireriez vous faire quelques petits étirement avant de commencer?
Sinon je suis prèt ,et n'ai aucunes courbatures, mais trêve de plaisanterie je suis ravi que nous croisions le fer un instant ...avant que vous me fassiez gouter de cette bouteille que parait-il vous reserviez pour une occasion...

Syls, qui après avoir questionnez un frère qui passais par là, revint bien équiper, puis commença à étudier les deux combattants.

Remarquant le fait qu'ils parlaient, il les écouta d'une oreille distraite, puis entendant le mot ''bouteille'' il parla

Hé! Ne m'oublier pas! Je souhaiterais moi aussi goûter au contenue de cette bouteille! Aussi, je voudrais recommencer mon entraînement contre vous, Naelin et Rethun, après votre combat... J'ai besoin de m'entraîner pour la Croisade et surtout de connaître style d'arme bien que j'admet devoir maîtriser le plus d'armes possibles...

-"La volonté je l'ai toujours eue !!!"

Napoliu s'élance avec courage vers son adversaire et lui asséne quelques coups d'épées malheureusement bien confus et qui demandent encore beaucoup d'entraînement, puis celui-ci s'emmêle les pieds et tombe dans la neige...

-"Zut de zut, il n'a même pas bougé!!"

Puis Napoliu bat la neige à l'aide de son épée et s'allonge;

-"Un jour je serai Chevalier, c'est sûr!
Pour l'instant je retourne à la Taverne, merci quand même pour le "combat", Auguste_Bertrand!"

Napoliu referme sa cape sur lui-même et va rejoindre Frère Gunther à l'intérieur!

Auguste para difficilemment les coups de son adversaire. Il se doutait qu'en le provoquant amicalement ce dernier l'attaquerait sans ménagement mais là....

Finalement le combat s'acheva aussi vite qu'il avait commencé suite à une glissade du frère Napoliu.

Une fois debout il prit salua le Wärter der Heligen Lanze et partit en direction de la taverne.

Il a de l'avenir celui-là, se dit-Auguste. Mais c'est FRERE Auguste_Bertrand .

Puis remarquant les frères Naëlin et Rethun se mettrent en place pour un affrontemment, il se rapprocha et s'installa au côté de Syls:

Voila un beau combat en perspective. Frère Syls! Regardes attentivemment, nous avons beaucoup à apprendre de ces deux-là.

Oui! J'espère pouvoir être un jour puissant et pouvoir me servir parfaitement de l'art du combat, pour mieux servir dieu, sa sainteté le pape ainsi que le Hochmeister.

Puis Syls commença à étudier attentivement les deux adversaires, tout en entendant de goûter au breuvage.