Pauvre Arwenne

Le Hochmeister avait demandé à Florika de bien vouloir rejoindre Arwenne à l'hostellerie. Elle était souffrante.

florika longea les couloirs du chateau la conduisant à l'hostellerie.

N'y étant encore jamais allé, elle se perdit une bonne demi douzaine de fois et dans sa précipitation pour obéir elle réussit à faire tomber quelques unes des fioles qu'elle avait pris avec elle en première urgence!!

Enfin, elle arriva.
Elle ouvrit une porte, et pénétra dans une pièce trés sombre. Elle posa son panier rempli de fioles et de poudres sur une longue table, la première chose qu'elle pu voir dans la pénombre.

Hého... il y a quelqu'un ?

[/i]Arwenne émergea lentement de son sommeil. Elle avait bien mal et elle dût prendre quelques instants avant de répondre à sa visiteuse. Elle tourna la tête et vit un grand panier rempli de fioles. Elle rélisa alors qu'il sagissait de la guérisseuse dont le Hochmeister lui avait annoncé la venue.

Bonjour.

Ses yeux, enfin habitués à la pénombre, devinèrent un lit au fond de la pièce et probablement quelqu'un dessus.

Elle s'approcha du lit, et vit Arwenne étendue dessus.
Arwenne ouvrait les yeux et bougea un peu.

Elle se pencha vers Arwenne et doucement lui demanda :

Arwenne ? comment allez vous ?

Imladrik entra.

"Arwenne? Comment va t elle?"

Elle se retourna en entendant la porte s'ouvrir et voit Imladrik.
Aussitot, elle mit son index sur ses lèvres (à elle )

Chut mon Frére... elle se réveille à peine!

Arwenne... parlez moi.

Que vous est il arrivé ?

entra tout doucement dans la chambre et demenda a Florika
je peux lui parler.

Arwenne reprit ses esprits et se rappella les premiers symptomes qu'ils l'avaient touché. Elle se mit enfin à parler faiblement :


Il y a environ une semaine j'ai ressenti une terrible fatigue et il m'a été impossible de me lever. Je ressens aussi une douleur lancinante à la tête. Je ne sais pas quel mal m'habite....

Duchon s'approcha d'Arwenne
Je m'appel Duchon je suis un amis a Vaapad, celui-ci ayant quitter l'ordre Teutonique m'as chargé de vous dire qu'il espere vous voir retablie le plus vite possible et de vous revoir a le plus tot a Bourg

Florika met sa main dans celle d'Arwenne afin de la réconforter.

Des douleurs lancinantes dans la tête ? Une grande fatigue ?

Avez vous d'autres symptômes ?

Tels que des vertiges, maux de ventre par exemple ?

Et avez vous déja ressenti ces malaises auparavant ?

Arwenne sentit la chaleur de la main de Florika dans la sienne. Elle sentit un petit réconfort. Elle commencça parler doucement:

Non, rien d'autre. Je n'ai que ces symptômes. Désolée de ne pouvoir vous en dire plus.

Flânant dans le château, Oürbachk passe a l'hostellerie, et passe devant la chambre de dame Arwenne. Et voit Imladrik dans l'encadrement de la porte d'une pièce sombre, la porte est juste entrouverte. Oürbachk s'approche, et ne sait pas pourquoi, mais chuchote.

Que se passe-t-il Imladrik ?

[Hrp]Je suis plus là moi.[/Hrp]

alors je rectifie le tire
Flânant dans le château, Oürbachk passe a l'hostellerie, et passe devant la chambre de dame Arwenne. Et voit Duchon dans l'encadrement de la porte d'une pièce sombre, la porte est juste entrouverte. Oürbachk s'approche, et ne sait pas pourquoi, chuchote.

Frère, que se passe-t-tl donc dans cette pièce ?

Arwenne... je ne sais pas ce que vous avez.
Je ne suis pas médecin.
Mais, je peux vous donner quelque chose qui vous redonnera un peu de vigueur!!!

Elle se remet debout et se dirige vers la table afin de chercher dans son panier une médecine pour Arwenne.

dormez vous bien en ce moment, Arwenne ? Et, est ce que vous manger bien ?

Arwenne avala difficilement sa salive et se souvint du dernier repas qu'elle avait fait. En fait, même en se creusant la tête, elle ne souvenait plus de la date. En tout cas, cela faisait plusieurs jours qu'elle n'avait rien mangé. La seule chose qu'elle avait réussi à avaler était de la tisane à la violette.

Non, je n'ai pas mangé depuis des jours. J'ai seulement bu de la tisane à la violette que ma grand-mère m'avait appris à faire lorsque j'étais enfant.
Merci beaucoup Florika pour le dévouement dont vous faite part envers une pauvre âme comme moi. Que Dieu vous garde et vous bénisse!

N'ayant eu de réponse, Oürbadchk distingue la voit d'une dame parlant de son estomac criant famine, il entre donc délicatement et vois florika qu'il connait.

"Florika, je vais cherchez de la nourriture, je vous rassure, je ne ramène pas que de la charcuterie, des légumes aussi."

[/i]Et bien voila, Arwenne. Je pense que nous avons trouvé la cause de vos troubles.
Vous devez manger.

Elle se tourne vers Ourbachk : Merci Ourbachk de vous rendre en cuisine et demander à Frère Gunther de vous donner de la nourriture pour Arwenne.
Mais, non point de la charcuterie, je vous prie... si elle n'a rien avalé depuis plusieurs jours, cela pourrait la rendre malade... et ce n'est pas le but.

Demandez lui plutot du pain et une assiette de gruau... et peut être un peu de viande séchée... et des fruits aussi.

Puis elle prend quelques poignées d'herbes séchées dans le panier, les pose dans un récipient plein d'eau qui bouillait dans la cheminée.
Les laisse infuser quelques minutes puis en verse dans un godet en terre, y ajoute du miel et le tend à Arwenne.

Tenez Arwenne... une infusion de menthe et de thym mélangée à du jus de citron, sucrée au miel.
Trés énergétique et fortifiant...
Vous verrez, cela vous fera du bien.

Oürbachk refait irruption dans la pièce, le soufle court, une casserole fermée contenant du gruau et un panier avec a son bord un saucisson, du pain et quelques petit légume. Le grand bonhomme pose le tout sur une petite table non loin du feu. Se retourne et vois le regard accusateur de Florika qui va et vien entre lui et le saucisson, il s'empourpre.

j'avais un petit creux et comme je passais a la cuisine, je l'ai pris, regarder sa taille, il est pas ben gros ! et puis toi aussi ça te ferais pas de mal!

Mais les yeux de Florika l'en dissuade trés vite et Oürbachk semble fondre comme du beurre au soleil de vant un tel regard.

hooo ça va! je le rapporte aux cuisines! c'est bête, un si beau saucisson. j'en pleurerais presque.

Puis il empoigne le saucisson et sort de la chambre

Si vous avez besoin de moi, appelez moi!