Emprisonnement de Oürbachk

Neulig Oürbachk, sur ordre direct de l'Ordenmarschall Rethun de Rhodes, suite aux événements qui viennent de se dérouler aux abords de Marienburg, je vous place aux arrêts jusqu'à ce que le Chapitre se réunisse et statue sur votre cas.

Veuillez me rendre toutes les armes en votre possession ainsi que votre tenue de Neulig tant que la sentence n'aura pas été prononcée.

Gardes, vérifiez également qu'il ne dispose pas de quoi mettre sa propre vie en danger.

Puis CalaEog poussa le Neulig dans sa cellule et referma lui même la porte.

Ah ces jeunes ! Il ya des règles à respecter pourtant ! Et on se renseigne !
Veillez sur lui pendant mon absence, je vais rendre compte de son arrestation.

Secouant la tête, CalaEog prend les escaliers menant à la surface

Teuuuuuuuuuuuh ! Teuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh !

Bon ! je l'met au frais en attendant les consignes !

Sire Caleog, mes armes sont en ma chambrée de l'hostellerie, je vous remet ceci, comme vous me l'avez demandé.

Porte la main a son colle, enlève la preuve de son appartenance aux Neuling de l'ordre, la tend a Caleog qui la prend sa aucune hésitation.

hé ben moi je vais piqué un roupillon, j'ai pas vraiment dormi ces temps ci. Comment est la boustifaille Ô geolier ?

Ton repentir pesera peut être en ta faveur Neuling Oürbachk, mais ces décisions ne sont pas de mon ressort.

Si j'avais un conseil à te donner, ce serait de prier. Je suis tout de même heureux de ne point avoir eu à utiliser la force contre un membre de notre Ordre.

Ne fais pas de bêtise en attendant la décision du Chapitre et peut être pourra tu tenter de racheter tes erreurs.

Je prierai pour toi.

Pax Vobiscum

Teuuuuuuuuuuh Teuuuuuuuuuuuuuuu Teuuuuuuuu argrgggggggggggggg
Il crache en regardant le neuling par le judas de la porte

La boustifaille ? La boustifaille ? AAAAAAAaaaaaaah va falloir qu't'attende neuling et que tu commences à m'parler sur un aut'ton.
Nom de nom de nom de D..........

Merci sire, mais je pense qu'après mes actes que certains juges d'intolérable alors que je ne pensait qu'a la sécurité de l'ordre, il n'est plus questions que je fasse part a l'aventure de l'ordre teutonique.

Sur ce Oürbachk commence a s'endormir

Hrp : Une petite paranthèse a propos de la relique. il y a eu un léger mal entendu. Normalelment j'ai déja reposé la relique "en lieu sur". Comme l'affaire est réglée, si on m'avait demandé j'aurais dit " dans mon casque"!

Imladrik arriva et déposant ses armes à l'extérieur demanda à Dentdefer:

"Puis je entrer pour lui parler? Ou au moins de l'extérieur?"

Mouais.
Entre mon frère...

Ô geolier, ne me dit pas que la popote c'est "du blé du lard et du fromage, c'est cui ensemble pour gagner du temps !"

Tien j'ai de la visite !!
Frère Imladrik, vous venez me lire mon acte d'accusation ou pour me dire quel est ma sentance ?

"Aucun des deux, je n'en ai pas le pouvoir."

Réfléchissant un instant il dit ensuite.

"Tu es content de toi je suppose. Insulter de la sorte le Grross Hospitler de l'Ordre et un haut fonctionnaire des Templers! Tu as de la chance d'être encore en vie! Bien. J'espère que le chapitre sera clément avec toi. Il te faut espérer que Benedictus n'aura pas trop de problème.

En sortant.

"Dommage tu aurais pu être un bon Frère. Bonne chance."

Il ferma la porte.

L’Ordemarschall se fit ouvrir les portes conduisant à la geôle du Neuling
Oürbachk.
Arrivé devant la porte, il l’a fit ouvrir laissant entrer à l’intérieur un trait de lumière éclairant partiellement la geôle.
Les gardes s’écartèrent laissant ainsi la place à Rethun qui appela le jeune Neuling.

- Le Chapitre a statué sur votre sort Neuling Oürbachk.
L’ordemarschall fixant le Neuling pu lire sur ses traits un mélange de sentiments allant du soulagement à l’inquiétude.
L’ordemarschall senti que Oürbachk cherchait à voir un signe de sa part qui aurait pu le guider quant à la décision du Chapitre mais celui-ci n’en fit rien.
D’une voix neutre Rethun lui demanda de les suivre.

La lourde porte de la geôle se referma derrière eux, ils suivirent les longs couloirs sombres et humides conduisant à l’air libre.
L’Ordenmarschall senti que le pas du Neuling ralentissait au fur et à mesure que la sortie approchait.
Il s’arrêta, se tourna vers lui
-Votre attente va bientôt prendre fin Neuling, il ne vous reste plus que très peu de temps avant que votre calvaire prenne fin avec l’annonce de votre sanction.
Allons continuons..

Ils se présentèrent devant la porte donnant sur une des cours intérieurs du château, qu’un garde ouvrit.
L’Ordenmarschall s’effaça faisant signe au Neuling de passer, ayant pour la première fois un petit signe de compassion pour lui.
-Votre sentence va être prononcé à la vue de tous les membres de l’ordre afin que celle-ci soit connue de tous.
Continuez à être digne comme vous avez su le montrer jusqu’ici et cela sera vite fini.

Le Neuling passa la porte suivi de l’Ordenmarschall et des gardes, sous le regard des membres de l’Ordre réunit pour cette fâcheuse occasion

Oürbachk, suivis l'Ordenmarshall, ralentissant le pas avant la porte. Il s'inquiétait quelque peu, car d'être seul dans une salle, entravé et sans armes, la mort pouvait frappé a tous moments. Il était courbé, et sa barbe naissante lui donnait un aspect sal. En entrant dans la salle, il se redressa, ne paru pas fière, loin de la, ses actes apperemment était mauvais, mais il allait se justifier. on le conduit la où il devrait resté jusqu'a la fin de son procès. Il se tint droit et stoïc, puis, même si on ne le lui demanda pas, il parla d'une vox claire mais marquée de son accent anglais

Mes sires et frères, je n'ia fais que ce que je pensais juste ! Non pas d'insulté Monseigneur Eckris, chose qui m'a plus que gèner. Ni d'insulter ce noble frère Templier, dont jamais je n'avais eu vent, mais je pensais protèger l'ordre en étant méfiant. Mon action est plus mal passée que je ne pensais, je ne voulais pas une gloire, loinde là, je voulais juste la sécurité d'un ordre dont je m'efforce de faire partie et de servir, le plus tôt possible afin de montrer ma loyauté.

si j'avais voulus nuire a l'ordre, jamais je n'aurais essayé de sauvegarder la relique, jamais je n'aurais éssayé de soigner l'Hochmeister (hrp, bien que se soit l'action de Beaupraie qui ai compté et non pas la miennne, je parle d'avant l'arrivée du chirurgien bien sur, des premiers soin hrp/)

Je vous laisse décidé de mon sort, j'accetperais, comme je l'ai dis toute sentances venant du chapitre.

Oürbachk

Puisque, après avoir atendu plusieurs heurs debouts, personne ne s'intéresse a moi, je demande a rejoindre ma cellule. ce droit m'est-il accordé ?

"Que s'est-il passé mon frère pour que tu t'emportes de la sorte ?"

Napoliu s'approcha du Neuling et lui posa la main sur l'épaule

"Apprends à te maîtriser jeune Anglais !" dit Napoliu souriant

"Tu t'es vaillament défendu en tout cas...Tu feras bien mieux la prochaine fois et j'en suis sûr."regarda le détenu

"Allez mange donc ta soupe elle va refroidir !"

oups les hommes de l'ordre sont plus rapides que moi pour écrire un message

Non ce droit ne t'es pas accordé.

Donc voici la décision du chapitre en ce qui concerne la faute du Neuling Oürbachk!

Etant entendu que le Neuling Oürbachk est un membre jeune dans l'ordre, Le Gross hospiler Eckris a émit le souhait que cette faute que nous appelerons un erreur ne portait point à consequence.

le Chapitre a donc décidé qu'au lieu d'infliger des coups de badines:D ou le bannissement du Neuling Oürbachk la sentence serait la suivante.

Obligation au Neuling de se confesser
nettoyage des écuries pendant une semaine.
Ce sera tout mais que vous sachiez tous que nous ne serons plus indulgent de la sorte si il devait exister d'autres écarts de la part de tout membres de l'Ordre.

Neuling Oürbachk je vous trouve legerement impertinent...ce sera tout

se réveil, boit et demande d'une voix faible, tous comme ses forces

Puis-je, maintenant que le verdict est rendu, retourné en met appartement, a savoir, dans le box d'Arabesque. Puis-je aussi recouvré mes biens, mon armures et mes armes ,